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Le soudage au gaz de tungstène inerte (TIG) produit des soudures à l'aide d'une électrode de tungstène non consommable. Cette méthode protège la zone de soudure de la contamination atmosphérique par un gaz inerte, tel que l'argon, et utilise généralement une soudure métallique. Dans celui-ci, l'énergie d'une source d'énergie est conduite à travers un plasma produit par de la vapeur métallique et du gaz ionisé. Le cuivre est couramment utilisé dans ce processus, en raison de sa capacité à transmettre la chaleur et l'électricité.
Étape 1
Utilisez un alliage de cuivre similaire au métal à souder comme soudure. Cela produira une soudure plus solide. Un essai de flexion longitudinale doit être effectué pour évaluer sa résistance.
Étape 2
Enlever toute trace d'éléments tels que le phosphore, le plomb et le soufre, qui pourraient endommager les soudures. Cela inclut les matériaux courants tels que l'huile, la graisse et les peintures qui peuvent contenir ces éléments. Les alliages de cuivre, d'étain et de zinc ne doivent pas être utilisés pour souder des alliages de cuivre et de nickel, car ils contiennent généralement des contaminants.
Étape 3
Fournir le gaz de protection à côté du métal, en face de la soudure. Ceci est essentiel dans ce processus, car il évite que la soudure TIG, avec du cuivre, ne soit contaminée par des oxydations et des corrosions.
Étape 4
Utilisez des soudures plus larges que l'acier. Dans le cuivre, cela est nécessaire pour obtenir une fusion et une pénétration adéquates, en raison de sa plus grande conductivité thermique.
Étape 5
Sélectionnez le gaz de protection approprié. L'argon est le meilleur choix pour les sections en cuivre jusqu'à 1,6 mm d'épaisseur. Les plus épais doivent utiliser un mélange d'hélium afin d'obtenir la pénétration nécessaire.